Tolbiac, Nantes, Toulouse, Montpellier, Lille, Nancy...Les Assemblées Générales, réunissant dans chacune de ces villes plusieurs milliers d’étudiants-es, ont voté à une large majorité le blocage illimité et total de leurs établissements !
La mobilisation étudiante s’étend également à plusieurs autres villes habituellement calmes, les occupations fleurissent, signe que les étudiant-e-s ne sont pas prêt à se résigner. Au même moment, les travailleurs-ses de tous les secteurs se mobilisent et paralysent le pays pour faire reculer le gouvernement (postièr-es, cheminot-es, éboueur-euses, fonctionnaires, employé-es de Carrefour…).
À Rennes et dans les autres facs, la période des exams approche, alors que la mobilisation contre la Sélection et les réformes de Macron est à un tournant décisif : intensifier la lutte ou baisser les bras ?