LA PENSEE MEDICALE A REVOIR
- Par admin
- 1759 vues
Pourquoi la Covid 19 restera dans notre histoire le plus grand scandale sanitaire de tous les temps : les mensonges et malversations du monde médical et politique démasqués par un journaliste santé engagé ! Cette crise doit nous réveiller de notre torpeur : des milliers de morts ont été causées parce que la pensée médicale s'est éloignée de ses fondamentaux, à cause de l'influence prépondérante de Big Pharma.
Le temps est venu de dresser le bilan de cette « crise sanitaire du siècle », qui marquera toute une génération, et de faire la lumière sur l'influence délétère de l'industrie pharmaceutique, qui a volontairement ignoré des molécules naturelles comme la vitamine D et le zinc, pourtant très efficaces en prévention et en traitement et a tout misé sur la vaccination généralisée rapportant des millions d’euros.
Vous découvrirez aussi des alternatives au vaccin, très efficaces en prévention et en traitement, celles qu’on nous a soigneusement cachées ! (1)
(1. Le Magazine ESSENTIEL défend la liberté de points de vue et la diversité culturelle. Toutefois, les articles de ce magazine sont publiés sous l’entière responsabilité de leurs auteurs et des éditeurs qui publient leurs ouvrages. Les conseils de santé naturelle ne dispensent en aucun cas de prendre l’avis de votre médecin en cas de problème de santé.)
Scène sidérante sur la chaîne M6, à l’été 2020. Marc Simoncini, entrepreneur à succès devenu une des plus grandes fortunes de France, prend la parole, l’air sévère :
« Il y a vingt ans, on est venu me voir pour savoir si en donnant des vitamines et compléments alimentaires aux enfants dans les écoles, on arriverait à réduire le cancer vingt ans plus tard. Parce qu’on se demandait si les vitamines permettaient d’avoir moins de cancers. Il a fallu beaucoup d’argent pour ça. On est allé voir les laboratoires pharmaceutiques en leur disant, on a besoin d’argent pour développer cette étude. Je me rappelle être allé voir le patron du plus grand laboratoire français en lui demandant 150 000 francs à l’époque pour financer cette étude. Il m’avait reçu dans son bureau avec des chaussettes en soie rose, je m’en souviendrai toujours. Et il m’avait dit : pourquoi voulez-vous que j’évite le cancer des enfants puisque mon métier, c’est de vendre des médicaments une fois qu’ils l’ont ? »
Si cette histoire vous paraît difficile à croire, voire « complotiste », c’est probablement que vous avez une vision un peu datée de l’industrie pharmaceutique.
Les laboratoires pharmaceutiques ne sont plus ces entreprises de taille moyenne, dirigées par des ingénieurs ou des visionnaires aux objectifs parfois généreux et philanthropiques. Tout a basculé dans les années 1980, quand les firmes pharmaceutiques ont commencé à fusionner entre elles. Ces fusions et acquisitions ont donné naissance à de grandes multinationales comme Pfizer, Sanofi, Merck & Co et Glaxo-Smithkline (GSK), dirigées par des actionnaires anonymes, uniquement préoccupés par la rentabilité financière.
Ces entreprises géantes ont commencé à être surnommées « Big Pharma », car elles étaient devenues plus riches que de nombreux États dans le monde, avec la possibilité de dépenser des dizaines de milliards d’euros en marketing et en lobbying. C’est comme cela qu’elles ont pu développer une influence tentaculaire sur la médecine universitaire, la recherche scientifique, les grands médias, les autorités de santé et les responsables politiques.
Une idéologie de la santé
Il faut savoir que la fameuse question du P.D.G. d’un Big Pharma :
« Pourquoi voulez-vous que j’évite le cancer des enfants puisque mon métier, c’est de vendre des médicaments une fois qu’ils l’ont ? », a été méthodiquement appliquée à la crise de la Covid-19.
Pourquoi essayer de prévenir les infections liées à la Covid‑19, par exemple avec la très efficace vitamine D, puisque le métier de Big Pharma est de vendre des vaccins à sept milliards d’habitants ?
Pourquoi traiter précocement les malades avec des médicaments anciens peu coûteux comme l’hydroxychloroquine ou l’ivermectine, si la rentabilité de Big Pharma passe par des molécules à 2 000 euros, comme le remdésivir de Gilead – et tant pis s’il est inefficace et toxique ?
Et plus généralement, pourquoi encourager les citoyens à renforcer leurs défenses immunitaires par des gestes simples et peu coûteux, si cela risque de réduire les profits de Big Pharma ?
Voilà comment raisonne l’industrie pharmaceutique. Et après tout, que des entreprises privées cherchent à maximiser leur profit ne devrait surprendre personne.
Le problème est que le secteur pharmaceutique est devenu tellement puissant qu’il est parvenu à diffuser l’idéologie qui sert ses intérêts dans l’ensemble du système politique, médiatique et sanitaire. Pour le dire autrement, Big Pharma façonne nos croyances, sans que l’on s’en rende compte.
Les alternatives au vaccin
L’exemple le plus frappant est celui de la vitamine D : plus de quarante études scientifiques internationales, publiées entre avril et novembre 2020, ont montré l’importance capitale de cette simple vitamine pour éviter des infections, des hospitalisations et des morts de la Covid-19.
En France, le Pr Annweiler du CHU d’Angers a montré en octobre 2020 qu’une supplémentation de vitamine D dans les maisons de retraite pouvait diminuer le nombre de morts lié à la Covid-19 de 90 %. Une réduction de 90 % signifie qu’on aurait pu éviter 9 morts sur 10 en Ehpad. Mais étrangement, le président Emmanuel Macron n’a pas annoncé une distribution immédiate de vitamine D à 2 euros dans les maisons de retraite. À la place, il a annoncé un plan de vaccination dans ces établissements à partir du mois de janvier 2021, alors qu’il n’avait pas la moindre idée de l’efficacité du vaccin sur les plus de 80 ans, et encore moins de ses effets indésirables.
Et il n’y a pas que la vitamine D. D’autres molécules naturelles et sans risque ont démontré une réelle efficacité en prévention de la Covid-19, comme la vitamine C, le zinc, le sélénium ou encore la quercétine.
Cela veut dire qu’un simple complément alimentaire multivitaminé, regroupant toutes ces vitamines et minéraux, aurait pu être distribué à la population à moindre coût et éviter des milliers d’hospitalisations et de morts.
Le coût pour les finances publiques aurait été cent fois inférieur aux dépenses liées aux vaccins – dont on savait pourtant dès le départ qu’ils arriveraient trop tard, après deux vagues épidémiques et l’apparition de nouveaux variants. (...)
Article ECRIT Par Xavier Bazin - Coronavirus : les alternatives au vaccin
Article à lire dans le n°49, en vente ici en version ebook
https://magazine-essentiel.com/produit/magazine-essentiel-n49-ebook/