Gestion de la zone naturelle
- Par Romuald
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Constat :
Le fond du jardin sert de zone naturelle. C’est une zone laissée à la nature qui sert de refuge pour les insectes et autres animaux auxiliaires utiles au jardin. Elle constitue un réservoir de biodiversité.
Plutôt qu’une zone naturelle, nous avons affaire à une zone laissée à l’abandon dans un espace clos même si elle présente un aspect « sauvage ».
Pour l’essentiel, il y pousse un grand laurier, un chèvrefeuille à feuilles de buis de belle taille, des ronces, quelques fougères, un grand noisetier d’un coté et un petit noisetier de l’autre, quelques arums, un peu d’orties et beaucoup de benoites.
Objectif :
Le but est d’élever le seuil de biodiversité c'est-à-dire de faire en sorte d’augmenter le nombre d’espèces présentes sur la zone de manière à ce que celle-ci puisse remplir sa fonction de manière optimale toute l’année.
Ils ‘agit donc de voir si nous pouvons canaliser les plantes trop envahissantes (chèvrefeuille, ronces) pour permettre à d’autres espèces de pousser aux endroits dégagés. Ces plantes se doivent d’être cohérentes avec la biodiversité de notre région et les caractéristiques de la zone : un espace mi ombragé fonctionnant toute proportion gardée comme un sous bois ou une lisière. Nous pourrions donc tenter d’intégrer à la zone les plantes suivantes : digitales, primevères, épiaires de bois, silènes, lychnis, asphodèles, ail des ours, jacinthe des bois, herbe à robert….
Tâches à effectuer :
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Recenser l’ensemble des plantes qu’il serait intéressant de voir intégrer cette zone.
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Déterminer comment se procurer les plants qui nous semblent les plus adaptés – (faut il acheter des plants ? se procurer des graines via nos réseaux, des associations etc…
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Semer, planter, voir se développer ou non ces plantes et gérer la zone sur le long court…